BABY CHAOS : Skulls. Skulls. Skulls. Show me the gloryref. Kicking077
Every pack comes with a free poster !
Dix-sept ans après son précédent album, Baby Chaos revient avec un nouveau déferlement de riffs percutants, de mélodies musclées et de réflexions sur la condition humaine.
Cet album, justement intitulé Skulls, Skulls, Skulls, Show Me The Glory fera grésiller vos enceintes, grâce à une avalanche de guitares saturées et d'harmonies envoûtantes.
Les membres originaux du groupe ont participé à l'enregistrement de ce troisième album : Chris Gordon (chant, guitare), Grant McFarlane (guitare), Bobby Dunn (basse) and Davy Greenwood (batterie).
“Quand nous nous sommes retrouvés,” dit Chris, “nous ne savions vraiment pas à quoi nous attendre. Nous ne savions pas encore si nous allions y trouver du plaisir ou juste passer un sale moment, mais ce fut un vrai bonheur que de retravailler ensemble. Le plus gratifiant fut de s'accorder sur le fait que cet album est de loin la meilleure chose que Baby Chaos ait produit à ce jour.”
Skulls, Skulls, Skulls, Show Me The Glory possède la verve et l'arrogance qui caractérisent le style de Baby Chaos et démontre également la manière dont le groupe a évolué dans son écriture pendant cette longue interruption.
La voix de Chris Gordon explore avec audace de nouvelles dimensions et chaque morceau possède une identité qui lui est propre. Cet album a tout, de l'ouverture à coup de massue de You Can’t Shut Us Up, à l'hymne mélancolique de We Were Youth en passant l'excentricité schizophrène de Blackbirds, la légèreté pop-rock old-school de A Tingling On Your Bright Skin, ou le fabuleux panorama de Out Of The Silence.
Vous aurez une nouvelle chanson préférée chaque semaine, voire chaque jour.
Le Chaos a débuté quand les membres du groupe se sont rencontrés sur les bancs de l'école, dans la petite ville de Stewarton, dans la région du Ayrshire en Ecosse. A 20 ans, les Les Baby Chaos se retrouvent à Glasgow. En 1993, ils signent chez East West Records, dirigé par l'ancien manager des Happy Mondays, Nathan McCough.
Ils se jettent alors à corps perdu dans les tournées et les enregistrements pendant les quatre années qui suivent.
Leur premier album, Safe Sex Designer Drugs and the Death of Rock and Roll, paru en 1994 , marque des débuts débordants d'énergie et riches en bons morceaux. En 1996, leur percutant deuxième album Love Your Self Abuse permet à leur style d'atteindre un tout autre niveau.
Chacun de ces opus est accueilli avec enthousiasme, le dernier en date acquérant ses lettres de noblesses grâce aux très convoités 5 « K » attribués par le magazine Kerrang! Quelques années plus tard, ledit magazine classa Love Your Self Abuse parmi les 100 meilleurs albums de rock britannique de tous les temps.
Le groupe entame alors une tournée à travers le Royaume-Uni et plusieurs pays d'Europe, parmi lesquels la France, qui s'avère particulièrement réceptive. Les deux albums sont également distribués aux Etats-Unis, où le groupe fait une longue tournée en 1995.
Le batteur, Davy, tire sa révérence en 1996 suite à des problèmes de santé.
Les débuts du long interlude de Baby Chaos sont marqués par un changement de nom du groupe pour Deckard en 1998, au moment où Chris et sa bande signent un contrat avec le label américain Reprise. A cette époque, le groupe souhaite entamer un léger changement de cap et repartir d'un nouveau pied avec le nouveau batteur Gen Matthews (précédemment chez Jesus Jones).
A partir de ce moment-là, la formation enchaîne détours et péripéties, avec notamment Regency Buck ou encore Union of Knives, dans lequel Chris choisit de suivre une toute nouvelle direction dans laquelle il parvient à continuer de faire briller son talent pour l'écriture. Il attire également l'attention pour son œuvre en tant que producteur, avec quelques pépites dont une poignée de hits pour la star espagnole Monica Naranjo.
Baby Chaos revient à la vie un beau jour de Décembre 2010, quand Ginger Wildheart les incite à jouer un concert de retrouvailles à Glasgow, avec Davy de retour derrière les cymbales. Alors que ce show est organisé pour être un événement unique, ce dernier se déroule tellement bien que le groupe retrouve l'envie de travailler ensemble. Il est cependant clair qu'il faut se concentrer à produire de nouveaux morceaux – et éviter que cela ne se limite à la nostalgie de leur folle jeunesse. Pour ces créatifs insatiables, la seule option est donc d'aller de l'avant. « Plus que tout autre chose, notre longue amitié est ce qui a amené le groupe à se reformer » dit Chris. « Si la création de cet album ne nous avait apporté aucun plaisir, le projet se serait arrêté avant même d'avoir commencé. Mais quand nous nous sommes retrouvés à déborder d'idées pour de nouveaux morceaux, nous avons retrouvé du réconfort et beaucoup d'humour en compagnie les uns des autres. »
L'enregistrement de Skulls... débute fin 2013 pour se poursuivre tout au long de 2014, le temps nécessaire pour les membres du groupe de produire, malgré leurs vies trépidantes, un album qu'ils considèrent comme digne d'attention aux yeux du monde. Il en résulte un album explosif et émotionnellement texturé, ancré dans son époque, qui se dresse fièrement aux côtés de compatriotes écossais comme Biffy Clyro, ou encore Queens of the Stone Age, Muse, Foo Fighters ou The Killers.
Support | Prix unitaire | Quantité | CD | 10,00 € |
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Le chaos a débuté quand les membres du groupe se sont rencontrés sur les bancs de l'école, dans la petite ville de Stewarton, dans la région du Ayrshire en Ecosse. A 20 ans, les BABY CHAOS se retrouvent à Glasgow. En 1993, ils signent chez East West Records, dirigé par l'ancien manager des Happy Mondays, Nathan McCough.
Ils se jettent alors à corps perdu dans les tournées et les enregistrements pendant les quatre années qui suivent.